"En 15 jours, "plus de 2.000 personnes" ont été arrêtées et se trouvent détenues en Iran, tandis que des centaines sont "portées disparues", a par ailleurs annoncé, de Paris, le vice-président de la Fédération internationale des Ligues des droits de l'Homme.
Nouveau développement dans le contentieux entre Téhéran et Londres, huit employés iraniens de l'ambassade britannique ont été arrêtés, selon l'agence Fars."
Les Iraniennes :
— "Longtemps cantonnées à des actes de rébellion vestimentaires symboliques, les femmes iraniennes sont aujourd'hui au premier rang de la contestation dans les rues de Téhéran."
Depuis l'avènement de la République Islamique, elles sont contraintes à porter le voile et des tenues amples.
Depuis le début des manifestations, on les voit défiler aux côtés des hommes et mourir dans la rue sous les balles.
Les 35 millions d'Iraniennes craignent un deuxième mandat d'Ahmadinejad.
"A la racine des troubles actuels, il y a le mécontentement et la frustration face à une détresse qui date d'avant l'élection", estime la prix Nobel de la paix et avocate Shirin Ebadi. "La présence des femmes est proéminente parce qu'elles sont la catégorie la plus mécontente de la société.
Sous le premier mandat, des lois ont limité les horaires de travail des femmes et la possibilité d'effectuer des heures supplémentaires.
Une loi facilitant la polygamie a également été proposée, et les restrictions vestimentaires ont été fermement appliquées.
Les femmes iraniennes redoutent aujourd'hui de voir leurs libertés encore rognées et apportent leur soutien à Hossein Moussavi qui a fait campagne avec sa femmes à ses côtés.
Les femmes Iraniennes ont peur de connaître demain ce que vivent leurs voisines afghanes aujourd'hui !
Nouveau développement dans le contentieux entre Téhéran et Londres, huit employés iraniens de l'ambassade britannique ont été arrêtés, selon l'agence Fars."
Les Iraniennes :
— "Longtemps cantonnées à des actes de rébellion vestimentaires symboliques, les femmes iraniennes sont aujourd'hui au premier rang de la contestation dans les rues de Téhéran."
Depuis l'avènement de la République Islamique, elles sont contraintes à porter le voile et des tenues amples.
Depuis le début des manifestations, on les voit défiler aux côtés des hommes et mourir dans la rue sous les balles.
Les 35 millions d'Iraniennes craignent un deuxième mandat d'Ahmadinejad.
"A la racine des troubles actuels, il y a le mécontentement et la frustration face à une détresse qui date d'avant l'élection", estime la prix Nobel de la paix et avocate Shirin Ebadi. "La présence des femmes est proéminente parce qu'elles sont la catégorie la plus mécontente de la société.
Sous le premier mandat, des lois ont limité les horaires de travail des femmes et la possibilité d'effectuer des heures supplémentaires.
Une loi facilitant la polygamie a également été proposée, et les restrictions vestimentaires ont été fermement appliquées.
Les femmes iraniennes redoutent aujourd'hui de voir leurs libertés encore rognées et apportent leur soutien à Hossein Moussavi qui a fait campagne avec sa femmes à ses côtés.
Les femmes Iraniennes ont peur de connaître demain ce que vivent leurs voisines afghanes aujourd'hui !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire