"Paul Girot de Langlade, le préfet suspendu pour injures racistes, assure jeudi dans un entretien au Parisien ne pas être raciste et s'estime victime d'une "affaire orchestrée par le ministre de l'Intérieur" Brice Hortefeux pour se "refaire une virginité" d'antiraciste."
Brice Hortefeux est à l'origine de la loi de maîtrise de l'immigration adoptée le 23 octobre 2007. Cette loi limite en particulier le regroupement familial.
Le 31 juillet à l'aéroport d'Orly, alors qu'il est en transit entre deux avions, le préfet raconte qu'il s'est senti agressé par des agents de la sécurité.
"Je n'ai rien dit sur la couleur de peau des agents", ajoute-t-il. "J'ai simplement déclaré qu'avec une gestion pareille, on se croirait en Afrique!"
C'est vrai qu'une telle remarque aurait pu être mal perçue car elle est à double sens.
« Les gens ont quelque chose en commun : ils sont tous différents » (Robert Zend)
Je conserve, amusée le souvenir de mon arrivée à Dakar en 2007....
L'arrivée à l'aéroport de Dakar est surprenante. C'est plus que sobre comparé à Orly, ce dénuement me choque. Dakar est pourtant la capitale du Sénégal ! Pas de bancs pour se reposer. Rien… pas de sièges. Une seule boutique !
Je sors. Une multitude s'agite, présentant de petits panneaux sur lesquels des noms sont inscrits. Des chauffeurs de taxi m'interpellent. Cette foule agglutinée contre les barrières qui séparent l'aéroport du parking est impressionnante. (extrait de "Au risque de me perdre")
Ce souvenir me ramène auprès de Papa, ce guitariste aveugle qui souffre là-bas. En travaillant sur sa vie, j'ai aussi découvert qu'il avait fait une tournée en Isère en 2001 avec le conteur de Grenoble Abou Fall auquel j'ai envoyé un message et qui ne m'a pas encore répondu......Je jette pour aider Papa des bouteilles à cette mer d'indifférence qu'est notre monde et, si vous l'avez connu prévenez moi.
Brice Hortefeux est à l'origine de la loi de maîtrise de l'immigration adoptée le 23 octobre 2007. Cette loi limite en particulier le regroupement familial.
Le 31 juillet à l'aéroport d'Orly, alors qu'il est en transit entre deux avions, le préfet raconte qu'il s'est senti agressé par des agents de la sécurité.
"Je n'ai rien dit sur la couleur de peau des agents", ajoute-t-il. "J'ai simplement déclaré qu'avec une gestion pareille, on se croirait en Afrique!"
C'est vrai qu'une telle remarque aurait pu être mal perçue car elle est à double sens.
« Les gens ont quelque chose en commun : ils sont tous différents » (Robert Zend)
Je conserve, amusée le souvenir de mon arrivée à Dakar en 2007....
L'arrivée à l'aéroport de Dakar est surprenante. C'est plus que sobre comparé à Orly, ce dénuement me choque. Dakar est pourtant la capitale du Sénégal ! Pas de bancs pour se reposer. Rien… pas de sièges. Une seule boutique !
Je sors. Une multitude s'agite, présentant de petits panneaux sur lesquels des noms sont inscrits. Des chauffeurs de taxi m'interpellent. Cette foule agglutinée contre les barrières qui séparent l'aéroport du parking est impressionnante. (extrait de "Au risque de me perdre")
Ce souvenir me ramène auprès de Papa, ce guitariste aveugle qui souffre là-bas. En travaillant sur sa vie, j'ai aussi découvert qu'il avait fait une tournée en Isère en 2001 avec le conteur de Grenoble Abou Fall auquel j'ai envoyé un message et qui ne m'a pas encore répondu......Je jette pour aider Papa des bouteilles à cette mer d'indifférence qu'est notre monde et, si vous l'avez connu prévenez moi.
Chanson extraite du répertoire des « enfants de l'espoir » ( paroles et musique J.Humenry)
Que tu sois blanc
Que tu sois noir
T'as les yeux couleur de l'espoir
Et tu travailles à ta façon
Pour changer le monde
Que tu sois blanc
Que tu sois noir
T'as les yeux couleur de l'espoir
Et tu travailles à ta façon
Pour éclairer l'horizon
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