lundi 4 janvier 2010

Après le saccage de l’ambassade de Guinée en France



Le procès des jeunes guinéens
accusés d'avoir dégradé le mobilier de l'ambassade de Guinée à Paris a été renvoyé à 2010.

Rappel des faits
:

Au lendemain des violences survenues au stade de Conakry, dans la capitale de Guinée, quelques jeunes Guinéens réunis devant les locaux de l’ambassade située à Paris souhaitaient rencontrer les représentants de l’autorité du pays pour en savoir plus sur les exactions commises. La plupart d’entre eux sont issus de familles directement touchées par le drame. S’en suit la destruction des vitres et du mobilier des lieux et des portraits de Moussa Dadis Camara.

Dernières nouvelles de Guinée
:

Conakry dans la tourmente, les caciques du régime développent un nationalisme anti-français
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Après la tentative d’assassinat de Moussa Dadis Camara par son aide de camp, la tension reste toujours vive dans la capitale guinéenne. De nombreux guinéens se demandent pourquoi tant de silence autour de l’état de santé du capitaine. Serait-il déjà mort comme le laissent entendre des rumeurs ou vivant mais inconscient ?
Pour l’heure, le climat d’insécurité se renforce et les populations ne savent plus à quel saint se vouer.
Bérets rouges, gendarmes et policiers multiplient les opérations de patrouilles pour retrouver le fugitif Aboubacar Sidiki Diakité dit Toumba. En tout cas, les recherches semblent ne pas aboutir d’autant plus que le concerné vient de donner signe de vie à travers une interviews accordée à RFI. Pourtant, la junte a mis à la disposition de la population des numéros verts et a même promis 200 millions de francs guinéens et une villa à toute personne qui aiderait à localiser le lieutenant.




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